Épisode 4

Fertily Diet'

Le fonctionnement des hormones et leur importance dans la conception

Dans l'épisode 4, vous allez découvrir ce qu'est la mithocondrie, comment agissent et interagissent les hormones et comment la qualité ovocytaire peut être améliorée grâce à l'alimentation.

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🔊 Ce programme est un programme d’information par une professionnelle formée. Ce sont des conseils génériques et ce n’est pas un diagnostic personnalisé. Dans tous les cas, nous vous recommandons d’être suivie par un.e gynécologue et/ou une sage-femme pour avoir un suivi individualisé.

Ce que vous allez apprendre dans cet épisode

Les potentielles difficultés hormonales

Pour qu’une hormone remplisse correctement son rôle, plusieurs étapes doivent bien fonctionner :

  • L’organe “expéditeur” doit être capable de produire l’hormone ;
  • Le transport de l’hormone doit se faire correctement dans le sang ;
  • L’organe “destinataire” doit être capable de la recevoir et de l’utiliser.
👉 On peut voir ça comme un “trajet régulier” : l’hormone est créée en point A, se déplace, puis arrive en point B pour agir.

Les dosages hormonaux dans le bilan de fertilité

En général, une prise de sang hormonale est proposée si une grossesse n’arrive pas après 12 mois de rapports sexuels réguliers sans contraception.

Les principales hormones à vérifier sont :

  • FSH : stimule la production des ovules (et des spermatozoïdes chez l’homme) ;
  • LH : déclenche le pic ovulatoire ;
  • Progestérone : hormone clé de la nidation et de l’implantation utérine ;
  • AMH : reflet de la réserve ovarienne ;
  • Œstradiol : hormone œstrogénique qui participe aussi au déclenchement du pic ovulatoire.
Ces hormones sont essentielles pour que le cycle menstruel fonctionne normalement.
👉 Il est recommandé de se faire accompagner en cas d’antécédents médicaux ou de prise d’anti-inflammatoires, qui peuvent perturber le fonctionnement hormonal.
💡 Chiffres clés

Une revue de 2025 (Journal of Ovarian Research, août 2025) établit que la maturation, la fertilisation et le développement embryonnaire des ovocytes dépendent de l’énergie fournie par les mitochondries. Leur dysfonctionnement, notamment à cause du stress oxydatif, des mutations de l’ADN mitochondrial, ou d’un nombre insuffisant de copies d’ADN mitochondrial, est directement lié à une baisse de la qualité ovocytaire, une fertilité diminuée, et un risque accru de fausses couches.

Si la qualité ovocytaire au-delà de l'alimentation vous intéresse, vous pouvez consulter le programme de Carole Minker "Bons ovocytes". Carole est pharmacienne spécialisée en approche naturelle.

D’autres facteurs clés du système hormonal

  • Les mitochondries : elles fournissent l’énergie indispensable au bon fonctionnement des cellules, y compris pour la production hormonale ;
  • Le foie : il joue un rôle central dans le recyclage et l’élimination des œstrogènes.
👉 Prendre soin de son foie est donc essentiel pour l’équilibre global de l’organisme.

Par exemple, limiter ou favoriser une alimentation riche en fibres et en légumes variés, c'est une première étape pour prendre soin de cet équilibre global.

Le rôle de l’alimentation et de la micronutrition

Une alimentation adaptée et certains apports en micronutriments peuvent aider à :

  • Améliorer la qualité ovocytaire (c’est-à-dire la santé des ovules) ;
  • Mais jamais la quantité ovocytaire, qui est fixée dès la naissance.

Un point de vigilance important

Laura rappelle que toute démarche doit être faite avec un suivi médical, en particulier si l’on est dans un parcours de PMA, ou si l’on est concernée par des troubles comme le SOPK ou l’endométriose.

🎯 Actions concrètes

  • Arrêter l’alcool, la cigarette et le cannabis, qu’on soit un homme ou une femme, c’est la meilleure décision à prendre pour prendre soin de sa fertilité. Si c’est trop difficile d’arrêter, réduire au maximum la consommation. Vous pouvez vous faire aider par l’hypnose, l’acuponcture ou en lisant le livre “La méthode simple pour arrêter de fumer”, disponible à moins de 10€ sur Amazon ;
  • Demander à mon médecin généraliste, mon gynécologue ou ma sage femme de vérifier l’ensemble de mes hormones de reproduction, quand cela fait plus d’un an que j’essaie de concevoir ;
  • Les hormones à vérifier dans la prise de sang sont les suivantes : FSH, LH, Oestradiol, Progestérone, AMH, Prolactine. Analyser ensuite mes résultats avec un professionnel de santé formé à la fertilité.
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🔎 Définitions utiles

Hormone: Molécule sécrétée par une structure bien différenciée (cellule ou glande endocrine), en réponse à une stimulation, atteignant la circulation sanguine et capable à très faible dose d’intervenir sur un organe ou un tissu cible portant un récepteur spécifique.

Source : Dictionnaire Medicale de l’Académie de Médecine

🔊 Vulgarisation de Laura : substance chimique qui est comme un message, qui envoie des demandes ou des informations au cerveau pour que le corps fonctionne correctement.

🔊 Ce programme est un programme d’information par une professionnelle formée. Ce sont des conseils génériques et ce n’est pas un diagnostic personnalisé. Dans tous les cas, nous vous recommandons d’être suivie par un.e gynécologue et/ou une sage-femme pour avoir un suivi individualisé.

Ce que vous allez apprendre dans cet épisode

Les potentielles difficultés hormonales

Pour qu’une hormone remplisse correctement son rôle, plusieurs étapes doivent bien fonctionner :

  • L’organe “expéditeur” doit être capable de produire l’hormone ;
  • Le transport de l’hormone doit se faire correctement dans le sang ;
  • L’organe “destinataire” doit être capable de la recevoir et de l’utiliser.
👉 On peut voir ça comme un “trajet régulier” : l’hormone est créée en point A, se déplace, puis arrive en point B pour agir.

Les dosages hormonaux dans le bilan de fertilité

En général, une prise de sang hormonale est proposée si une grossesse n’arrive pas après 12 mois de rapports sexuels réguliers sans contraception.

Les principales hormones à vérifier sont :

  • FSH : stimule la production des ovules (et des spermatozoïdes chez l’homme) ;
  • LH : déclenche le pic ovulatoire ;
  • Progestérone : hormone clé de la nidation et de l’implantation utérine ;
  • AMH : reflet de la réserve ovarienne ;
  • Œstradiol : hormone œstrogénique qui participe aussi au déclenchement du pic ovulatoire.
Ces hormones sont essentielles pour que le cycle menstruel fonctionne normalement.
👉 Il est recommandé de se faire accompagner en cas d’antécédents médicaux ou de prise d’anti-inflammatoires, qui peuvent perturber le fonctionnement hormonal.
💡 Chiffres clés

Une revue de 2025 (Journal of Ovarian Research, août 2025) établit que la maturation, la fertilisation et le développement embryonnaire des ovocytes dépendent de l’énergie fournie par les mitochondries. Leur dysfonctionnement, notamment à cause du stress oxydatif, des mutations de l’ADN mitochondrial, ou d’un nombre insuffisant de copies d’ADN mitochondrial, est directement lié à une baisse de la qualité ovocytaire, une fertilité diminuée, et un risque accru de fausses couches.

Si la qualité ovocytaire au-delà de l'alimentation vous intéresse, vous pouvez consulter le programme de Carole Minker "Bons ovocytes". Carole est pharmacienne spécialisée en approche naturelle.

D’autres facteurs clés du système hormonal

  • Les mitochondries : elles fournissent l’énergie indispensable au bon fonctionnement des cellules, y compris pour la production hormonale ;
  • Le foie : il joue un rôle central dans le recyclage et l’élimination des œstrogènes.
👉 Prendre soin de son foie est donc essentiel pour l’équilibre global de l’organisme.

Par exemple, limiter ou favoriser une alimentation riche en fibres et en légumes variés, c'est une première étape pour prendre soin de cet équilibre global.

Le rôle de l’alimentation et de la micronutrition

Une alimentation adaptée et certains apports en micronutriments peuvent aider à :

  • Améliorer la qualité ovocytaire (c’est-à-dire la santé des ovules) ;
  • Mais jamais la quantité ovocytaire, qui est fixée dès la naissance.

Un point de vigilance important

Laura rappelle que toute démarche doit être faite avec un suivi médical, en particulier si l’on est dans un parcours de PMA, ou si l’on est concernée par des troubles comme le SOPK ou l’endométriose.

🎯 Actions concrètes

  • Arrêter l’alcool, la cigarette et le cannabis, qu’on soit un homme ou une femme, c’est la meilleure décision à prendre pour prendre soin de sa fertilité. Si c’est trop difficile d’arrêter, réduire au maximum la consommation. Vous pouvez vous faire aider par l’hypnose, l’acuponcture ou en lisant le livre “La méthode simple pour arrêter de fumer”, disponible à moins de 10€ sur Amazon ;
  • Demander à mon médecin généraliste, mon gynécologue ou ma sage femme de vérifier l’ensemble de mes hormones de reproduction, quand cela fait plus d’un an que j’essaie de concevoir ;
  • Les hormones à vérifier dans la prise de sang sont les suivantes : FSH, LH, Oestradiol, Progestérone, AMH, Prolactine. Analyser ensuite mes résultats avec un professionnel de santé formé à la fertilité.
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🔎 Définitions utiles

Hormone: Molécule sécrétée par une structure bien différenciée (cellule ou glande endocrine), en réponse à une stimulation, atteignant la circulation sanguine et capable à très faible dose d’intervenir sur un organe ou un tissu cible portant un récepteur spécifique.

Source : Dictionnaire Medicale de l’Académie de Médecine

🔊 Vulgarisation de Laura : substance chimique qui est comme un message, qui envoie des demandes ou des informations au cerveau pour que le corps fonctionne correctement.