Sans règles SOPK
Comment mettre en place nos conseils au quotidien et quelles sont les contre-indications ?
Dans l'épisode 7, Carole nous explique pourquoi le SOPK est un facteur fort de stress oxydant et d'inflammation chronique de bas grade, comment les diagnostiquer et les soulager.
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🔊 Ce programme est un programme d’information par une professionnelle formée. Ce sont des conseils génériques et ce n’est pas un diagnostic personnalisé. Dans tous les cas, nous vous recommandons d’être suivie par un.e gynécologue et/ou une sage-femme pour avoir un suivi individualisé.
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode
Première étape : confirmer le diagnostic
Avant tout, il faut s’assurer que le diagnostic est bien posé selon les bons critères :
- Je demande un diagnostic à mon médecin selon la classification de Rotterdam ;
- Si mon médecin n’est pas à l’écoute, je n’hésite pas à en changer.
Si j’ai mon diagnostic SOPK
Une fois le diagnostic confirmé, je peux agir pour réduire les symptômes et améliorer mon bien-être global :
- Je fais les choses pas à pas, en choisissant les changements les plus faciles à mettre en place au début ;
- Je creuse du côté des analyses pour comprendre mon type de SOPK (voir épisodes 4, 5 et 6), selon mes antécédents et mes ressentis ;
- Je travaille mon hygiène de vie : stress, sommeil, équilibre émotionnel ;
- Je bouge un peu chaque jour : 30 minutes de marche quotidienne suffisent déjà à faire la différence ;
- J’adopte une alimentation variée et équilibrée, avec des assiettes colorées (fruits, légumes, protéines, bons gras) ;
- J’évite le sucre le matin et le soir, et je privilégie les protéines et les bons lipides.
👉 Pour commencer, je choisis le symptôme ou la problématique la plus difficile à vivre pour moi, et je commence par celui-ci.
💡 Chiffres clés
Plusieurs revues scientifiques, montrent un lien direct entre SOPK et inflammation chronique de bas grade : 2019 - Pub Med Central ; 2021 - Pub Med Central ; 2022 - Pub Med Central ...
Si j’ai un petit budget
C’est tout à fait possible d’agir sans dépenser beaucoup :
- Je priorise : je me concentre sur le problème principal à gérer d’abord ;
- Je choisis des formats simples et accessibles, comme les infusions ;
- Je mange varié et équilibré, c’est déjà une base puissante ;
- Certains ingrédients naturels sont peu coûteux : cannelle, curcuma, gingembre.
Si je ne peux pas faire toutes mes analyses
- Je m’appuie sur mes symptômes pour comprendre mon SOPK, en reprenant les épisodes précédents comme repères.
- J’observe mes cycles, mon sommeil, ma peau, mon poids, mes sensations, tout compte pour mieux me connaître.
Quand consulter est fortement recommandé ?
Il est préférable de consulter une professionnelle formée si :
- Vous avez une autre maladie en parallèle ;
- Vous êtes sous traitement médical ;
- Vous avez des antécédents familiaux de maladies graves ;
- Vous avez un projet de grossesse à court terme.
👉Dans tous les cas je vérifie toujours les précautions d’emploi et les interactions possibles des compléments et gélules.
Pour s’informer : le site Wikiphyto est une ressource fiable pour en apprendre davantage sur les plantes médicinales et leurs usages sécurisés.
Carole nous rappelle surtout qu'il faut voir les choses du bon côté : il y a des solutions pour toutes et il ne faut surtout pas se laisser abattre, mieux vaut se faire accompagner si on a un coup de mou.
Merci pour votre écoute, on est complètement à votre disposition si vous avez des questions.
🎯 Actions concrètes
- Surtout quand j’ai un SOPK, je fais attention à mon inflammation de bas grade :
- Soit, je ressens une inflammation dans mon corps et je vais faire des tests pour confirmer ;
- Soit, j’ai envie de m’assurer de cette présence ou non de l’inflammation, et je peux faire des test comme OXYCHECK, dans les labos privés et sans ordonnance ;
- Soit je sais que j’ai un état inflammatoire parce qu’on m’a déjà diagnostiqué une autre maladie inflammatoire par ailleurs
- Dans l’idéal, je me fais accompagner par un professionnel de santé.
- Pour réduire le stress oxydatif et l’inflammation de bas grade au quotidien :
- Je prends soin de mon microbiote, en intégrant des aliments fermentés (kombucha, kéfir, choucroute…) ;
- Je mange des fruits rouges et des légumes multicolores, pour avoir tous les nutriments nécessaires (ce que Carole appelle l’assiette arc-en-ciel);
- J’arrête la cigarette (le méthode la moins chère, c’est lire le livre La Méthode simple pour arrêter de fumer, d’Alan Carr) ;
- Je fais du sport (en marchant au minimum 30 minutes par jour).
- Je peux intégrer des nutriments anti inflammatoire :
- Dans l’alimentation : avec le curcuma ou le gingembre dans mes repas ;
- Avec des compléments alimentaires : comme la phycocyanine ou le pycnogénol, toujours à prendre sous forme de cure, de manière individualisée et en vérifiant les effets que cela a sur moi. Et surtout, seulement après avoir déjà fais des efforts dans mon alimentation.
- Je me fais suivre par un pro si j’en ressens le besoin, ou si j’ai une maladie chronique ou un traitement médical.
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🔎 Définitions utiles
Radicaux libre : Molécule instable qui réagit facilement avec d'autres molécules.
Source : Canadian Cancer Society
🔊 Ce programme est un programme d’information par une professionnelle formée. Ce sont des conseils génériques et ce n’est pas un diagnostic personnalisé. Dans tous les cas, nous vous recommandons d’être suivie par un.e gynécologue et/ou une sage-femme pour avoir un suivi individualisé.
Ce que vous allez apprendre dans cet épisode
Première étape : confirmer le diagnostic
Avant tout, il faut s’assurer que le diagnostic est bien posé selon les bons critères :
- Je demande un diagnostic à mon médecin selon la classification de Rotterdam ;
- Si mon médecin n’est pas à l’écoute, je n’hésite pas à en changer.
Si j’ai mon diagnostic SOPK
Une fois le diagnostic confirmé, je peux agir pour réduire les symptômes et améliorer mon bien-être global :
- Je fais les choses pas à pas, en choisissant les changements les plus faciles à mettre en place au début ;
- Je creuse du côté des analyses pour comprendre mon type de SOPK (voir épisodes 4, 5 et 6), selon mes antécédents et mes ressentis ;
- Je travaille mon hygiène de vie : stress, sommeil, équilibre émotionnel ;
- Je bouge un peu chaque jour : 30 minutes de marche quotidienne suffisent déjà à faire la différence ;
- J’adopte une alimentation variée et équilibrée, avec des assiettes colorées (fruits, légumes, protéines, bons gras) ;
- J’évite le sucre le matin et le soir, et je privilégie les protéines et les bons lipides.
👉 Pour commencer, je choisis le symptôme ou la problématique la plus difficile à vivre pour moi, et je commence par celui-ci.
💡 Chiffres clés
Plusieurs revues scientifiques, montrent un lien direct entre SOPK et inflammation chronique de bas grade : 2019 - Pub Med Central ; 2021 - Pub Med Central ; 2022 - Pub Med Central ...
Si j’ai un petit budget
C’est tout à fait possible d’agir sans dépenser beaucoup :
- Je priorise : je me concentre sur le problème principal à gérer d’abord ;
- Je choisis des formats simples et accessibles, comme les infusions ;
- Je mange varié et équilibré, c’est déjà une base puissante ;
- Certains ingrédients naturels sont peu coûteux : cannelle, curcuma, gingembre.
Si je ne peux pas faire toutes mes analyses
- Je m’appuie sur mes symptômes pour comprendre mon SOPK, en reprenant les épisodes précédents comme repères.
- J’observe mes cycles, mon sommeil, ma peau, mon poids, mes sensations, tout compte pour mieux me connaître.
Quand consulter est fortement recommandé ?
Il est préférable de consulter une professionnelle formée si :
- Vous avez une autre maladie en parallèle ;
- Vous êtes sous traitement médical ;
- Vous avez des antécédents familiaux de maladies graves ;
- Vous avez un projet de grossesse à court terme.
👉Dans tous les cas je vérifie toujours les précautions d’emploi et les interactions possibles des compléments et gélules.
Pour s’informer : le site Wikiphyto est une ressource fiable pour en apprendre davantage sur les plantes médicinales et leurs usages sécurisés.
Carole nous rappelle surtout qu'il faut voir les choses du bon côté : il y a des solutions pour toutes et il ne faut surtout pas se laisser abattre, mieux vaut se faire accompagner si on a un coup de mou.
Merci pour votre écoute, on est complètement à votre disposition si vous avez des questions.
🎯 Actions concrètes
- Surtout quand j’ai un SOPK, je fais attention à mon inflammation de bas grade :
- Soit, je ressens une inflammation dans mon corps et je vais faire des tests pour confirmer ;
- Soit, j’ai envie de m’assurer de cette présence ou non de l’inflammation, et je peux faire des test comme OXYCHECK, dans les labos privés et sans ordonnance ;
- Soit je sais que j’ai un état inflammatoire parce qu’on m’a déjà diagnostiqué une autre maladie inflammatoire par ailleurs
- Dans l’idéal, je me fais accompagner par un professionnel de santé.
- Pour réduire le stress oxydatif et l’inflammation de bas grade au quotidien :
- Je prends soin de mon microbiote, en intégrant des aliments fermentés (kombucha, kéfir, choucroute…) ;
- Je mange des fruits rouges et des légumes multicolores, pour avoir tous les nutriments nécessaires (ce que Carole appelle l’assiette arc-en-ciel);
- J’arrête la cigarette (le méthode la moins chère, c’est lire le livre La Méthode simple pour arrêter de fumer, d’Alan Carr) ;
- Je fais du sport (en marchant au minimum 30 minutes par jour).
- Je peux intégrer des nutriments anti inflammatoire :
- Dans l’alimentation : avec le curcuma ou le gingembre dans mes repas ;
- Avec des compléments alimentaires : comme la phycocyanine ou le pycnogénol, toujours à prendre sous forme de cure, de manière individualisée et en vérifiant les effets que cela a sur moi. Et surtout, seulement après avoir déjà fais des efforts dans mon alimentation.
- Je me fais suivre par un pro si j’en ressens le besoin, ou si j’ai une maladie chronique ou un traitement médical.
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🔎 Définitions utiles
Radicaux libre : Molécule instable qui réagit facilement avec d'autres molécules.
Source : Canadian Cancer Society